Vivere insieme in contesti di polarizzazione sociale: fattori di rischio e di protezione in un campione di giovani studenti canadesi / Living Together in Socially Polarised Contexts : Risk and Protective Factors in a Sample of Canadian College Students


Miconi, D., Rousseau, C. (2020)

Educationla Reflexive Practice

1 | pp. 55-73

Les sentiments xénophobes, la discrimination et les crimes et incidents de haine sont en augmentation à travers le monde. Bien que la relation entre les attitudes et les comportements ne soit pas linéaire, les attitudes de l’ensemble de la population envers la légitimation de certaines formes de violence peuvent représenter un facteur de risque et alimenter la polarisation sociale, ce qui peut à son tour faciliter le recours à la violence au nom d’une idéologie radicale parmi les personnes vulnérables. . Ainsi, comprendre les facteurs de risque et de protection associés aux attitudes positives à l’égard de la radicalisation violente est un point de départ important pour éclairer des programmes de prévention efficaces. Cependant, peu d’études empiriques ont examiné les attitudes positives à l’égard de la radicalisation violente chez les jeunes, qui courent un risque accru de radicalisation violente. En 2015, un échantillon d’étudiants fréquentant 14 collèges au Québec (74% âgés de 16 à 21 ans, 71% de femmes) a participé à un sondage en ligne visant à enquêter sur les attitudes positives envers la radicalisation violente et le risque associé (c.-à-d. Discrimination, exposition violence, dépression, identité collective polarisée) et facteurs de protection (c.-à-d. orientation future positive, soutien social, religiosité). Deux ans plus tard, la même enquête en ligne a été menée dans six collèges, pour examiner à un niveau préliminaire l’évolution du phénomène dans le temps. Le présent article résume les résultats de ce projet de recherche avec l’objectif final d’améliorer notre compréhension de la radicalisation violente chez les adolescents et les jeunes adultes, afin d’identifier des pistes potentielles de prévention et d’intervention. 71% de femmes) ont participé à une enquête en ligne visant à enquêter sur les attitudes positives à l’égard de la radicalisation violente et le risque associé (c.-à-d. Discrimination, exposition à la violence, à la dépression, identité collective polarisée) et les facteurs de protection (c.-à-d. Orientation future positive, soutien social , religiosité).

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