Mental Health and Well-being of Youth


The mental health and well-being of youth and children (immigrants, refugees and indigenous people) is a major field of expertise in SHERPA’s research programme. The projects developed all promote an ecosystemic and multi-sectorial perspective. They look at youth within their relationship to their family, school, community environments, etc. Research projects on the organization of primary youth services as well as the evaluation of programmes and initiatives to improve the well-being of immigrant and indigenous youth are also indexed in this section.

Since 1994, the research team has developed creative expression programmes, in prevention and promotion of mental health of refugee and immigrant youth. These programmes are designed for a school context, primarily the integration classes for new immigrant children. Three programmes have been developed to meet the social and developmental needs of children according to age (play in the sand, art and stories, and theatre). These programmes have been evaluated numerous times and are one of the cutting-edge practices of our University Institute. Creative expression programmes >>

Since 2012, SHERPA has also supported a community of practice (CoP) bringing together more than 200 primary youth workers from teams in Montreal. This CoP promotes the sharing of tools and know-how among youth workers and provides a space for exchange and mutual support through a variety of methods. A website supports the activities of the community of practice.

 

Mental Health and Well-being of Immigrant and Refugee Children

 

Mental Health and Well-being of Indigenous Youth

 

Organization of youth services

Étude du parcours post-migratoire des élèves réfugiés et demandeurs d’asile arrivés au Québec en 2016-2017 : éléments éducatifs et systématiques favorisant ou défavorisant leur expérience socio-scolaire


Chercheurs

Garine Papazian-Zohrabian (UdeM), Gina Lafortune (UQAM), Corina Borri-Anadon (UQTR), Monica Ruiz-Casares (McGill-CIUSSS CODIM), Josée Charrette (UQAM)

Collaboration : Françoise Armand (U. de Montréal)

Partenaires

CSRDN, CSMB, CSDL, CSDM, DSAEI

Financement

CRSH : 2019-2022

Description du projet

L’arrivée des réfugiés syriens, puis celle des demandeurs d’asile venues des É-U, ont marqué le Québec ces dernières années. À la suite de la crise syrienne, le Québec a accueilli 7583 réfugiés syriens en 2015-2016, dont 47% étaient des mineurs.  De plus, de janvier 2017 à août 2018, 42 925 personnes ont fait une demande d’asile au Québec.

Les milieux de l’éducation se trouvent donc dans l’urgence de répondre aux multiples besoins de ces jeunes ayant vécu dans des conditions d’adversité. Les recherches montrent que le parcours pré, péri et post-migratoire influence directement la santé mentale, l’expérience socioscolaire et l’intégration des jeunes réfugiés et demandeurs d’asile.

Ce projet de recherche partenarial a comme objectif de 1) dresser le portrait scolaire des élèves réfugiés et demandeurs d’asile arrivés au Québec en 2016 et 2017, 2) de produire des connaissances sur le parcours post-migratoire de ces jeunes et 3) dégager les éléments systémiques (psychosociaux, éducatifs, législatifs) ayant favorisé ou défavorisé leur expérience socioscolaire.

Nos partenaires (CS de Montréal, CS Marguerite-Bourgeoys, CS de Laval et CS de la Rivière du Nord) ont accueilli un nombre important jeunes réfugiés et demandeurs d’asile durant ces dernières années. Ce partenariat de recherche va leur permettre d’obtenir les portraits de leurs élèves entre le moment de leur arrivée en 2016 et 2017 et celui de la collecte des données et découvrir les éléments favorisant ou non leur expérience scolaire en vue d’une amélioration de leur offre de services et de leurs pratiques.

La recherche est basée sur une approche systémique et la méthodologie adoptée est  mixte.

Publications

À venir

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Les programmes d'expression créatrice et d'éveil aux langues pour soutenir la réussite scolaire des enfants réfugiés


Chercheurs

Cécile Rousseau (McGill), Françoise Armand (UdeM), Geneviève Audet (UQAM), Caroline Beauregard (UQAT), Maryse Benoît (USherbrooke), Ghayda Hassan (UQAM), Garine papazian-Zohrabian (UdeM)

Partenaires

Karen Alvarez Madero (Solidarité ethnique régionale de la Yamaska), Roxana Cledon (CIUSSS de l’Estrie), Le ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEES)

Financement

FRQSC : 2018-2021

Description du projet

Cette recherche-action vise spécifiquement la population des élèves immigrants nouvellement arrivés et en situation de grand retard scolaire qui fréquentent l’école primaire. Depuis quelques années, un grand nombre d’enfants réfugiés ou demandeurs d’asile intègrent des écoles primaires situées en milieu métropolitain et en région. Or, des études indiquent que la majorité des enfants réfugiés ont vécu des interruptions majeures dans leur scolarisation et qu’il est probable que beaucoup de ceux qui ont vécu dans des camps de réfugiés ou dans des zones de combat présentent de grands retards scolaires en plus d’avoir vécu des pertes et des traumatismes importants. Dans plusieurs cas, ces expériences mènent à des difficultés émotionnelles et comportementales majeures pouvant interférer avec le fonctionnement cognitif des enfants et influencer leur réussite scolaire.

L’objectif général de cette recherche est d’évaluer l’impact sur la réussite scolaire et le bien-être des enfants réfugiés établis en région et à Montréal d’une intervention combinant des ateliers d’expression créatrice, des activités d’éveil aux langues et une formation du personnel scolaire, en documentant les adaptations nécessaires pour répondre aux spécificités des milieux scolaires et sociaux des régions. Cette intervention comprendra 1) une formation du personnel scolaire sur les enjeux psychopédagogiques et éducatifs des enfants réfugiés, particulièrement ceux présentant un grand retard scolaire, 2) des ateliers d’expression créatrice et d’éveil aux langues pour faciliter le travail de deuil, l’élaboration des traumatismes et l’adaptation psychosociale, et 3) des activités visant à renforcer le lien familles réfugiées-école. Le projet se déroulera dans trois sites (Granby, Sherbrooke et Montréal) afin de contraster des environnements urbains différents et de les comparer au milieu métropolitain. La méthode mixte comprendra des données quantitatives portant sur la performance scolaire (français, mathématiques) des enfants, leur motivation face aux apprentissages, le taux d’absentéisme et les retards, ainsi que sur leurs difficultés émotionnelles et comportementales telles que mesurées par le Strengths and Difficulties Questionnaire. Les données seront recueillies à trois temps de mesure : avant l’intervention, 6 mois et un an après. Les données qualitatives documenteront la perception qu’a le personnel scolaire des enfants réfugiés et de leur famille ainsi que la perception qu’ont les parents et les enfants du milieu scolaire. Une analyse différenciée selon la langue d’origine et le genre sera effectuée afin de cerner les effets distincts de l’intervention.

En documentant les adaptations nécessaires à partir des perceptions du milieu scolaire et des effets sur les enfants, les résultats confirmeront la pertinence de disséminer l’intervention en région aux milieux scolaires et communautaires accueillant des réfugiés. Ils permettront également d’outiller les milieux scolaires susceptibles d’accueillir des enfants réfugiés qui présentent un grand retard scolaire et de démontrer que des interventions valorisant la diversité peuvent modifier, enrichir les perceptions des enseignants et améliorer l’alliance parents réfugiés-école.

Pour mener à bien ce projet, des écoles primaires de trois commissions scolaires (Région de Sherbrooke, Val-des-Cerfs à Granby et Marguerite-Bourgeoys à Montréal) ainsi que des organismes communautaires locaux (SANC à Sherbrooke, SERY à Granby et Centre l’Unité à Montréal) seront impliqués aux différentes étapes du projet.

Publications

À venir

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La santé mentale à l’école : « Apprivoiser la complexité!»


Chercheurs

Cécile Rousseau (McGill) et Garine Papazian-Zohrabian (U. de Montréal)

Financement

MELS-MSSS : 2013-2016 et FRSQ : 2012-2016

Description du projet

Le  projet La santé mentale à l’école : « Apprivoiser la complexité!» est un programme de formation-accompagnement  créé par le milieu scolaire en collaboration avec le milieu de la santé et des services sociaux.  Son objectif est d’augmenter le sentiment de compétence des milieux scolaires face aux problèmes de santé mentale et à soutenir la création de partenariats solides entre les acteurs du réseau scolaire et du réseau de la santé et des services sociaux afin d’accompagner les jeunes et les familles qui en ont besoin. En 2013, un projet de recherche action s’est mis en œuvre sous la direction scientifique de Cécile Rousseau et de Garine Papazian-Zohrabian  afin d’accompagner ce projet et d’en évaluer les impacts sur 1)  sur la qualité du  partenariat entre les écoles et leur réseau du soutien (CLSC) et 2) sur la transformation des perceptions des participants au sujet de leur rôle face à des élèves ayant des problèmes de santé mentale. 

Méthodologie : L’évaluation a été menée auprès de 63 participants.  Les perceptions des participants à l’égard de leur rôle et de leurs capacités face aux problèmes de santé mentale et face au soutien disponible ont été mesurées par le biais d’un questionnaire en ligne à l’aide, entre autre, du PINCOM et du ECD-M. Les participants ont répondu au sondage environ une semaine avant la formation (temps 1) et environ trois semaines après (temps 2). Le même sondage a été utilisé par chacune des cohortes, aux deux années scolaires de l’étude. Une grille d’observation détaillée compilée à chacune des séances ainsi qu’une retranscription verbatim des échanges ont permis de  documenter la transformation éventuelle des perceptions des intervenants vis-à-vis de leur pratique professionnelle et vis-à-vis des relations partenariales, de même qu’à évaluer les collaborations interprofessionnelles et interinstitutionnelles autour d’enjeux cliniques.

Résultats : Les résultats démontrent que la formation a augmenté le sentiment de compétence des participants quant à leurs interventions, leur confort par rapport aux décisions partagées avec leurs partenaires et leur motivation face aux collaborations interdisciplinaires. Ces résultats suggèrent que cette formation peut améliorer l’arrimage entre les milieux de l’éducation et de la santé face aux problèmes de santé mentale des jeunes à l’école.

Publications

Papazian-Zohrabian, G., Rousseau, C., Roy, D., Arauz, M. J. et Laurin-Lamothe, A. (2015). La santé mentale à l’école:«Apprivoiser la complexité!» Évaluation d’une formation-accompagnement. Canadian Journal of Education, 38(1), p.1.

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Favoriser l'intégration sociale et scolaire des élèves réfugiés syriens en développant leur sentiment d'appartenance à l'école, leur bien-être psychologique et celui de leurs familles


Chercheurs

Garine Papazian-Zohrabian (U. de Montréal) et  Ghayda Hassan (UQAM)

Partenaires

Commission scolaire Marguerite-Bourgeois, Commission scolaire de Laval, Centre d’intervention pédagogique en contexte de diversité et Université de Montréal

Financement

CRSH-Subvention spéciale pour l’accueil des réfugiés et Commission scolaire de Laval : 2016-2017

Description du projet

En 2015-2016, le Québec a accueilli un nombre important de réfugiés syriens. Les écoles du territoire de Montréal et de Laval ont reçu la majorité de ces élèves réfugiés ayant quittés la Syrie. 

Objectif : Évaluer les retombées d’une action scolaire courte et ciblée- des groupes de parole- visant le développement du bien-être des élèves réfugiés ainsi que leur sentiment d’appartenance au groupe.

Méthodologie : Durant l’année scolaire 2016-207, 10 séances de groupes de parole ont été menés dans plusieurs classes d’accueil dans des écoles primaires et secondaires de Laval et de Montréal autour de sujets sensibles tels que la migration, la différence, la guerre ou la mort. Chacune des séances a été retranscrites et des journaux de bord ont été complétés par les chercheurs et analysés.

Retombées : Les résultats de cette recherche action ont démontrés que les groupes de parole favorise le sentiment d’appartenance des élèves aux groupes et permettent aux enseignants de mieux connaître leurs élèves et leur parcours. Un guide destiné aux intervenants scolaires présentant l’approche privilégiée, les conditions d’implantation et les différentes activités a été élaboré suite à cette recherche action.

Publications

Papazian-Zohrabian, G. (2018). Mener des groupes de parole en contexte scolaire: Guide pour les enseignants et les professionnels. Université de Montréal. 


Mener des groupes de parole en contexte scolaire

Papazian-Zohrabian, G., Mamprin, C., Lemire, V., Turpin-Samson, A., Hassan, G., Rousseau, C., & Aoun, R. (2018). Le milieu scolaire face aux défis de l’accueil des élèves réfugiés: quels enjeux pour la gouvernance scolaire et la formation des intervenants. Éducation et francophonie(46), 208-229.

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Favoriser la réussite scolaire des élèves immigrants en développant leur bien-être psychologique et celui de leurs familles


Chercheurs

Garine Papazian-Zohrabian (U. de Montréal), Cécile Rousseau (McGill), Nathalie Trépanier (U. de Montréal)  et Fasal Kanouté (U. de Montréal)

Partenaires

École Jean-Grou (CSMB) et École alternative Jonathan (CSMB)

Financement

CRSH : 2015-2019

Description du projet

Bien qu’ils soient généralement en bonne santé physique au début du parcours migratoire étant donné le système de sélection des candidats, les immigrants arrivent souvent avec un « mal-être » psychologique. Les raisons de l’immigration ainsi que le processus migratoire en soi constituent souvent des

conditions d’adversité ayant un impact sur le bien-être des enfants et leur réussite scolaire. Les résultats d’une recherche précédente de la chercheur principale de ce projet sur l’influence des deuils et des traumas pré, péri et post-migratoires sur l’adaptation et les apprentissages scolaires des élèves immigrants, soulignent le « mal-être » des enfants immigrants et de leurs familles lié aux deuils migratoires et à leurs difficultés d’intégration sociale ainsi que le rôle incontournable de l’école dans l’établissement d’une collaboration fructueuse avec les familles immigrantes et le développement du bien-être des élèves.

Objectifs : L’objectif général de ce projet de recherche-action est d’évaluer l’influence, sur la réussite scolaire des élèves immigrants, d’un programme constitué d’une série de mesures visant le développement du bien-être des élèves immigrants par la transformation de l’environnement scolaire. Ces mesures s’adresseront au personnel enseignant, au personnel de soutien et de service de garde, à collaboration avec les familles immigrantes, aux interventions des professionnels, ainsi qu’aux enfants. Ces mesures visent tant l’intervention sur le plan individuel que collectif.

Méthodologie : Les méthodes adoptées sont les méthodes mixtes. L’impact des transformations du milieu sur différents indicateurs de réussite scolaire sera évalué en comparant les données des années d’expérimentation aux cinq années antérieures au projet. Une analyse longitudinale de cas (élèves et leurs familles) ayant bénéficié des nouvelles mesures adoptées par l’école sera réalisée en documentant les changements liés au développement du bien-être et leur influence sur la réussite scolaire (entrevues, groupes-focus, observations, analyse du cheminement scolaire).

Retombées : Les résultats escomptés de cette recherche sont d’ordre scientifique : avancement des connaissances et d’ordre social : développement des pratiques éducatives et de collaborations diverses (familles-école, collaborations interdisciplinaires et interinstitutionnelles).

Publications

Papazian-Zohrabian, G. (2017). “La psychologie scolaire par rapport aux défis de l’intégration sociale et à la réussite scolaire des élèves réfugiés au Québec.” Psychologie Québec Avril.

Papazian-Zohrabian, G. (2016). Les enfants de la guerre et jeunes réfugiés à l’école québécoise. Fides.

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Les ateliers jeu dans le sable pour améliorer le bien-être émotionnel et le développement cognitif d’enfants réfugiés en maternelle : une comparaison Sherbrooke et Montréal


Chercheurs

Caroline Beauregard (UQAT), Cécile Rousseau (McGill), Maryse Benoît (U. de Sherbrooke) et Garine Papazian-Zohrabian (U. de Montréal)

Financement

Fondation de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue : 2017-2018

Description du projet

Les événements traumatiques, vécus par les enfants des réfugiés syriens peuvent avoir des répercussions sur leur bien-être émotionnel ainsi que leur développement cognitif et, corollairement, sur leur adaptation socio scolaire. A cet égard, une étude effectuée à Montréal a démontré qu’une intervention de jeu symbolique Jeu dans le sable soutenait les enfants immigrants d’âge préscolaire dans l’élaboration des traumas tout en les protégeant contre les effets d’autres traumas éventuels.

Objectifs :Ce projet vise à documenter l’effet d’une intervention axée sur le jeu symbolique, Jeu dans le sable, auprès d’enfants réfugiés en classes de maternelle (5 ans) à Sherbrooke et à Montréal dans le but de favoriser leur adaptation socio scolaire et leur entrée scolaire réussie, dans une optique comparative. À l’aide d’une méthode quasi-expérimentale, des données quantitatives sur le développement cognitif des  enfants (mesure directe par le test Lollipop) ainsi que sur les difficultés émotionnelles et de comportement (questionnaire SDQ par les enseignants) seront recueillies à dans 2 écoles. L’évolution du jeu des enfants sera aussi documentée par l’observation participation et des photographies de leur jeu.

Retombées : Les résultats de cette étude contribueront à mieux comprendre les besoins spécifiques des régions accueillant des réfugiés. Ils serviront à mettre en relief l’importance de mettre en place des interventions éducatives adaptées au milieu et qui se distinguent parleur approche créative axée sur le jeu symbolique et ce,afin de faciliter l’entrée scolaire réussie des élèves réfugiés et nouvellement arrivés à l’école.

Publications

À venir

Communications

Beauregard, C. (22 au 24 mars 2018). Playing to learn : Exploration of the effects of sandplay school-based workshops on refugee preschool children’s cognitive development and well-being. 20th National Metropolis Conference: Immigration Futures: Marking 20 Years of the National Metropolis Conference. Calgary, Canada.

Beauregard, C. (6 mai 2018). Jeu de sable à l’école pour soutenir le bien-être émotionnel et le développement cognitif d’enfants réfugiés. Congrès de l’Institut de Recherche et de Formation en Art-Thérapie (IRFAT) : L’art-thérapie au risque du trauma. Avignon, France.

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Connecting to others through drawing: creative expression workshops for young immigrant children


Chercheurs

Caroline Beauregard (UQAT), Prudence Caldairou-Bessette (UQAM)

Financement

CRSH : 2018-2020

Description du projet

Objectif : Ce projet de recherche a comme objectif d’explorer l’impact d’une modalité d’expression créatrice (le programme Art et contes) implantée dans des classes d’accueil du primaire sur le développement des liens sociaux et des relations interpersonnelles entre les enfants et entre les enfants et l’enseignante.

Méthodologie : Le programme sera implanté dans quatre classes d’accueil dans deux régions (Montréal et Sherbrooke). De l’observation participante, des entrevues individuelles avec les enseignants et des groupes de parole avec les enfants, animés avec des méthodes créatives et ludiques de collecte de données seront menés afin de documenter la dynamique de groupe.  L’évolution  des relations et la qualité des relations entre les élèves et entre les élèves et les enseignants seront également documentées à l’aide d’outils utilisés en art-thérapie et basés sur l’art. Une analyse par étude de cas sera effectuée pour chacun des classes participantes.

Retombées : Les résultats permettront de mieux comprendre le rôle potentiel de l’art, et plus spécifiquement du programme Art en contes,  dans la création de relations interpersonnelles significatives au sein d’un groupe classe (liens entre les pairs et entre les élèves et leur enseignant).

Publications

Beauregard, C. (2017). Theatrical expression to foster personal and group identity narratives among immigrant students. Stories of becoming: The use of storytelling in education, counseling and research. S. Moenandar and L. Wood. Nimeguen, Netherlands, Campus Orleon Press: 193-218.

Beauregard, C., Lyke, C. et Rousseau, C. (en préparation- 50%). Communities under pressure: how community arts foster connectedness between cultures and generations. À soumettre à une revue telle Journal of Arts and Communities.

Beauregard, C., G. Papazian-Zohrabian, et al. (2018). “Mouvement des frontières identitaires dans les dessins d’élèves immigrants.” Alterstice-Revue Internationale de la Recherche Interculturelle7(2): 105-116.

Beauregard, C., G. Papazian-Zohrabian, et al. (2017). “Connecting identities through drawing: Relationships between identities in images drawn by immigrant students.” The Arts in Psychotherapy 56: 83-92.

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The Rough Journey of Children and Adolescent Refugees: Intervening to Address Suffering and Support Wellbeing


Chercheurs

Cécile Rousseau et Mélanie M. Gagnon

Financement

PathyFamilyFoundation : 2018-2021

Description du projet

As the numbers of refugees coming into Canada increases there is an increased need to provide mental health support that is culturally appropriate and context specific.

The overall goal of this project is to provide the necessary support to children and adolescent refugees in order to improve their wellbeing and ease the suffering associated with the griefs and traumas associated with migration, through a combination of creative expression programming in school and community settings, direct psychotherapy interventions and increased support for teachers and community organizations so they can better understand the needs of refugee children and youth. Art workshops inside the classroom will support both the verbal and non-verbal expression while at the same time developing the emotional and relational skills necessary for thriving in their new context.

Objectifs:

  • over three years in primary (4) and secondary (3) schools in Montreal and Sherbrooke that receive large numbers of refugee children and youth.
  • Provide direct intervention with children and youth who exhibit severe symptoms of trauma, grief and Post-Traumatic Stress Disorder after the initial 12 workshops in the classroom through individual psychotherapy sessions and provide referrals to appropriate services for children and youth with signs of developmental issues.
  • Work in partnership with community organization partners and a school to create intergenerational art programming that encourages the formation of social connections within and between families.
  • Implant two day training each year of this project for teachers and community workers who work with these children and families with the aim to help them develop skills to support children and adolescent refugees including cultural safety and trauma informed interventions.
  • Facilitate connections between workers in clinical, educational and community settings who work with refugee children through clinical support meetings that bring together actors from all these sectors.
  • Evaluate all aspects of our programming
Publications

À venir

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Illagiinut: communautés mobilisées pour le bien-être des enfants d'aujourd'hui et des parents de demain


Chercheurs

Sarah Fraser (U. de Montréal), Fraser, Lucie Nadeau (McGill), Cécile Rousseau (McGill)

Financement

Avenir d’enfants : 2013-2018

Description du projet

À venir

Publications

Fraser, S. L. (2018). “What stories to tell? A trilogy of methods used for knowledge exchange in a community-based participatory research project.” Action Research 16(2): 207-222.

Fraser, S. L., V. Parent, et al. (2018). “Communities being well for family well-being: Exploring the socio-ecological determinants of well-being in an Inuit community of Northern Quebec.” Transcultural psychiatry 55(1): 120-146.

Fraser, S., M. Vachon, et al. (2016). “Communicating power and resistance: exploring interactions between aboriginal youth and non-aboriginal staff members in a residential child welfare facility.” Qualitative Research in Psychology 13(1): 67-91.

Fraser, S., G. Vrakas, et al. (2018). “Everyday ethics of participation: a case study of a CBPR in Nunavik.” Global health promotion 25(1): 82-90.

Fraser, S. L. (2015). “Culturally Appropriate Care—A Multicultural Task: Assessing the Needs of Inuit Youth in the Care of Child Welfare Services.” Journal of Aboriginal Health: 39.

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Atautsikut: Implementing a community of practice in youth mental health and wellness in Nunavik


Chercheurs

Lucie Nadeau (McGill), Sarah Fraser (U. Montréal), Laurence Kirmayer (McGill), Eduardo Chachamovich (McGill), Pierre Pluye (McGill), Shawn-Renée Hordyk (UQAM), Ana Gomez-Carillo (McGill) et Araceli Gonzalez Reyes (McGill)

Partenaires

Nunavik Regional Board of health and Social Services

Financement

IRSC : 2018-2022

Description du projet

Bien que les enfants et les jeunes du Nunavik rencontrent plusieurs enjeux de santé mentale (suicide, détresse émotionnelle, etc.), l’accès à des services en santé mentale jeunesse adéquats dans les communautés est limité et les intervenants en première ligne doivent composer avec des situations cliniques complexes. Ce projet vise à soutenir une démarche participative de mise en œuvre d’une communauté de pratique sensible aux particularités culturelles autochtones.

Objectif : Évaluer l’implantation d’une communauté de pratique réunissant des intervenants  Inuit et allochtones qui travaillent en première ligne  santé mentale jeunesse et bien-être dans les 14 communautés Inuit du Nunavik. Les objectifs spécifiques du projet sont les suivants : 1.Identifier les barrières et les facilitateurs à l’implantation de la CoP, 2. évaluer l’adhésion et l’appropriation des intervenants et 3.explorer l’impact de la CoP sur le développement professionnel des membres,  leur perception de soutien social et sur la collaboration interprofessionnelle.

Retombées : L’implantation d’une CoP en santé mentale jeunesse au Nunavik permettra d’améliorer les services offerts aux jeunes et aux familles. L’évaluation qui en sera faite permettra d’en mesurer les impacts auprès des professionnels et de bien comprendre les éléments de mise en œuvre qui permettront de soutenir l’implantation de ce type d’initiative en contexte autochtone ailleurs au Canada et dans le monde.    

Publications

À venir

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Collaborative mental health care from communities, to professionals to policy change for Inuit of Nunavik


Chercheurs

Sarah Fraser (U. Montréal), Cécile Rousseau (McGill) et Lucie Nadeau (McGill)

Financement

Sick Kids Foundation : 2014-2017

Description du projet

À venir

Publications

Fraser, S., L. R. Rouillard, et al. (2016). “Collaborating towards improved child mental health in Nunavik: Exploring the facilitators and obstacles to collaborative mental health care.” Inuit Studies 40(1): 23-41.

Fraser, S., R. Rouillard, et al. (2016). “Collaborating to improve child and youth mental health in Nunavik.” études/inuit/studies 40(1): 23-41.

Fraser, S. and L. Nadeau (2015). “Experiences and representations of health and social services in a community of Nunavik.” Contemporary Nurse 51(2-3): 286-300.

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Deux projets connexes sur les soins en collaboration en santé mentale jeunesse


Chercheurs

Financement FQRS : Cécile Rousseau,  Lucie Nadeau, Garine Papazian-Zohrabian, Ghayda  Hassan, Toby Measham, Mélanie Vachon, Pierre Pluye, Denis  Lafortune et Rosario Rodriguez

Financement IRSC : Lucie Nadeau, Cécile Rousseau, Vania Jimenez,  Lourdes Rodriguez Del Barrio, Lucyna M. Lach, Sarah Fraser et Nicolas Moreau

Partenaires

CSSS de la Montagne, CSSS de Bordeaux-Cartierville-Saint-Laurent, CSSS Cavendish, CSSS de l’Ouest-de-l’Île, CSSS de Dorval-Lachine-LaSalle, CSSS du Sud-Ouest-Verdun et la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles.

Financement

FRSQ : 2012-2016 et IRSC : 2014-2017

Description du projet

De nombreux milieux cliniques canadiens réorganisent actuellement leurs services de santé mentale en favorisant les « soins en collaboration » (aussi appelés « soins partagés ») pour répondre au problème aigu d’accessibilité des services. Ces modèles de soins de santé mentale misent sur une collaboration étroite entre spécialistes de la santé mentale, professionnels des soins primaires et usagers, et mettent l’accent sur la prestation de soins ambulatoires dans les milieux de soins primaires.

Ce projet de recherche porte sur les services de santé mentale jeunesse (SMJ) prodigués en première ligne en milieu urbain montréalais. Son objectif principal est d’étudier la relation entre la qualité du partenariat interprofessionnel et la qualité des services, documentée en termes d’évolution clinique des jeunes et des familles (symptômes et dysfonction associée, satisfaction). :

Un financement  de recherche connexe ses IRSC, en 2014, a permis de s’intéresser, de façon spécifique, à une variable supplémentaire, soit le type d’intervention thérapeutique (médico-psychologique, psychosociale ou mixte). Une cueillette de données supplémentaire a ainsi été ajoutée au devis initial. 

Méthodologie : Le projet repose sur un devis de recherche mixte et longitudinal (début du suivi, 6 mois, un an). Le recrutement des participants a été réalisé auprès de tous les jeunes de 4 à 17 ans référés pour un problème de SMJ à travers le guichet d’accès dans chacun des sites participants. Des variables associées aux caractéristiques institutionnelles et aux caractéristiques populationnelles ont été collectées. Des données permettant de mesurer l’évolution clinique des jeunes (SDQ), l’environnement familial (FES), la satisfaction des jeunes et des familles à l’égard des services reçus (CSQ), la perception des intervenants des relations interprofessionnelles entre les différents partenaires qui suivent les jeunes (PINCOM), de même qu’une mesure du confort décisionnel quant à la prise de décision partagée (ECD-P) ontégalement été recueillies au moyen de questionnaires. Des groupes de discussion avec les intervenants (deux temps de mesure) de chacun des sites ainsi que des entrevues individuelles auprès de triades (jeunes, parents et intervenants) ont été réalisées afin de discuter en profondeur.

Résultats préliminaires : Un total de 217 familles ont participé au volet quantitatif de l’étude et 44 d’entre elles ont également participé aux entrevues semi-dirigées. Parmi ces dernières, 23 enfants ont été rencontrés en utilisant le protocole de recherche adapté aux plus jeunes.Les analyses de l’ensemble des données recueillies dans le cadre de ce vaste projet sont encore en cours mais les résultats préliminaires permettent de démontrer que 1)  la continuité des soins et la culture organisationnelle influencent les résultats cliniques des jeunes  et 2) qu’un équilibre entre les interventions individuelles et familiales et une souplesse dans leurs mises en œuvre sont nécessaires.

Publications

Johnson-Lafleur, J.L, Nadeau, L.et al. (2018). Les méthodes mixtes comme avenue d’amélioration de la rigueur scientifique et de l’éthique en recherche auprès de populations minoritaires et marginalisées : étude de cas en santé mentale jeunesse transculturelle. Oser les défis des méthodes mixtes en sciences sociales et sciences de la santé. M. Bujold, Q. N. Hong, V. Riddeet al. Montréal, Association francophone pour le savoir: 194.

Rousseau, C., A. Pontbriand, et al. (2017). “Perception of Interprofessional Collaboration and Co-Location of Specialists and Primary Care Teams in Youth Mental Health.” Journal of the Canadian Academy of Child and Adolescent Psychiatry26(3): 198.

Nadeau L, Jaimes A, Johnson-Lafleur J, Rousseau C (2017). Perspectives of migrant youth, parents and clinicians on community-based mental health services: negotiating safe pathways.  Journal of Child and Family Studies. doi:10.1007/s10826-017-0700-1

Nadeau L, Lecomte V, Rousseau C, Pontbriand A, Johnson-Lafleur J (2016). Collaborative youth mental health service users, immigration, poverty and family environment. Child and Adolescent Mental Health.doi:10.1111/camh.12196

Rousseau C, Nadeau L, Pontbriand A, Johnson-Lafleur J, Measham T, Broadhurst J (2014). La santé mentale jeunesse : un domaine à la croisée des Chemins, Santé mentale au Québec, 39(1), 101-118.

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Partenariat et intervention en santé mentale jeunesse auprès des familles réfugiées


Chercheurs

Cécile Rousseau, Mélanie Vachon , Lucie Nadeau, GarinePapazian-Zohrabian, Ghayda Hassan,, Toby Measham, , Pierre Pluye, Denis Lafortune et Rosario Rodriguez

Financement

FRSQ : 2012-2016

Description du projet

Ce projet est l’un des projets de la programmation de recherche sur les soins partagés en santé mentale jeunesse financé par le FRSQ. La direction de ce projet spécifique était assurée par Mélanie Vachon (UQAM).

Objectifs : Cette étude exploratoire par étude de cas multiples visait à 1) documenter le rôle et la qualité du partenariat en santé mentale jeunesse dans la mise en place d’intervention auprès des enfants réfugiés, 2) mieux comprendre la perspective des parents réfugiés sur ces soins (expérience de soins) ; 3) décrire les forces et les limites du partenariat mis en place (modèle de soins) pour répondre aux besoins de ces familles.

Méthodologie : Toutes les demandesde services en SMJ pour les familles réfugiées sur deux territoires (2 CSSS) sur une période ont été considérées.  La cueillette de données impliquait une étude des dossiers cliniques, des entretiens avec les parents et avec divers intervenants impliqués, et des entretiens adaptés pour les jeunes. Au total, neuf familles réfugiées ont participé, parmi lesquelles neuf jeunes âgés de six à seize ans ont été rencontrés.

Publications

Vachon, M., P. Caldairou-Bessette, et al. (2017). “Pratiques soignantes en santé mentale jeunesse auprès des familles réfugiées: Répétition traumatique et reconstruction du lien social.” Revue québécoise de psychologie38(3): 33-59.

Bélanger-Dumontier, G., M. Vachon, et al. (2017). “Entre donner, recevoir et rendre : les dynamiques relationnelles et éthiques en recherche auprès des réfugiés.” Revue québécoise de psychologie 38(3): 125-149.

Bélanger-Dumontier, G. (2017). “Être réfugié au Québec : une phénoménologie de l’exil.” Revue québécoise de psychologie38(3):5-31.

Caldairou-Bessette, P., J. Johnson-Lafleur, et al. (2017). “Écouter les enfants dans la recherche en santé mentale jeunesse (SMJ): une créativité éthique inspirée de la clinique.” Approches inductives: Travail intellectuel et
construction des connaissances4(2): 79-108.

Caldairou-Bessette, P., M. Vachon, et al. (2017). “La réflexivité nécessaire à l’éthique en recherche: l’expérience d’un projet qualitatif en santé mentale jeunesse auprès de réfugiés.” Recherches qualitatives 36(2): 29-51.

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ACCESS Esprits ouverts Parc-Extension: Adolescents/Jeunes adultes ; en Contact avec la Communauté ; pour des services Engageants, Sans délai et Sans stigma.


Chercheurs

Ashok Malla (Chercheur principal), Cécile Rousseau (Chercheure principale pour le site de Parc-Extension), Barbara Whitenect, Caroline Tait, Daphne Hutt-MacLeod, Diane Aubin, DJ Joseph, Eduardo Chachamovich, Jai Shah, Martine Jacob, Neil Anderson, Norbert Schmitz, Patricia Boksa, Rick Shaw, Ridha Joober, Shalini Lal et SrividyaIyer

Financement

Le financement des sites ACCESS EO est fourni conjointement par la Stratégie de recherche axée sur le patient des Instituts de recherche en santé du Canada et par la Fondation Graham Boeckh (2015-2020).

Description du projet

ACCESS Esprits ouverts est un projet de recherche, d’intervention et d’évaluation visant à mettre en œuvre et à évaluer la transformation du mode d’accès des jeunes Canadiens aux services de santé mentale et leur utilisation concrète. Ce cadre tire parti des forces existantes des communautés et des systèmes et il est structuré pour s’adapter aux divers contextes géographiques, culturels et sociodémographiques des jeunes Canadiens ainsi qu’à leur diversité et au profil clinique de leurs besoins en matière de santé mentale.

Pour plus d’informations, veuillez visiter le site web d’ACCESS Esprits ouverts : http://accessopenminds.ca/
Pour plus d’informations à propos du site d’ACCESS EO Parc-Extension, veuillez contacter :  access.parcextension@gmail.com

Voici les principaux objectifs du projet :

  • offrir un accès rapide à des soins de santé mentale fondés sur des données probantes, adaptés aux jeunes et à la situation, couvrant l’ensemble des problèmes de santé mentale; et
  • améliorer la mobilisation et la sensibilisation des jeunes, des familles ou des proches à l’égard des problèmes de santé mentale, ce qui mènera à l’identification précoce des personnes dans le besoin.

Voici les cinq objectifs fondamentaux qui encadrent ACCESS Esprits ouverts :

Publications

Malla, A., Iyer, S., Shah, J., Joober, R., Boksa, P., Lal, S., . . . Hutt‐MacLeod, D. (2018). Canadian response to need for transformation of youth mental health services: ACCESS Open Minds (Esprits ouverts). Early intervention in psychiatry.

 

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