Colloque
Conférencières et conférenciers
Ce colloque rassemble une grande diversité de gens. Ces personnes oeuvrent dans le milieu de l'intervention communautaire, de la recherche universitaire ou du réseau de la santé et des services sociaux. Elles proviennent de différentes régions du monde, de Calgary à Montréal, de Paris à Stockholm. Trouvez ici toutes les informations sur les conférencières et conférenciers qui présenteront.
Ourhou Abdelaaziz, professeur, Institut National de l’Action Sociale, Maroc
Ourhou Abdelaaziz est professeur, Institut National de l’Action Sociale au Maroc. Il est détenteur d’une maitrise en psychoéducation de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Il a soutenu une thèse de doctorat en psychologie à l’Université du Québec à Trois-Rivières en 2020 intitulée L'accès aux soins de santé mentale à Montréal: la perception des familles immigrantes. Il mène actuellement des recherches sur la santé mentale en contexte migratoire.
Abdul-Rahman Ahmed, responsable du programme BaoPapas et intervenant, Baobab familial
Abdul-Rahman Ahmed est intervenant social au Baobab Familial depuis juin 2021, où il occupe aussi le poste de responsable du programme BaoPapas depuis son arrivée, et la co-coordination du programme d'aide aux devoirs, depuis 2023. Détenteur d'un baccalauréat en Gestion du loisir, sport et tourisme de l'Université de Moncton, il est aussi entraîneur de soccer, qualifié au niveau de la Licence B Concacaf - Formé. Il cumule des expériences de travail autant en tant qu'entraîneur et éducateur de soccer auprès des enfants que des adolescent.e.s et jeunes adultes, au Collège Dawson, Cégep Saint-Laurent, CS Saint-Laurent et CS Mont-Royal-Outremont, que des expériences de coordination de programmes et d'intervention au YMCA, Maison des jeunes de Côte-des-Neiges, Collège Stanislas, Carrefour Jeunesse Emploi, etc. Abdul est né au Ghana et a grandi à Côte-des-Neiges.
Adnan Al Mhamied, candidat au doctorat, École de travail social, Université McGill
Adnan Al Mhamied est candidat au doctorat à l'École de travail social de l’Université McGill. Sa thèse porte sur les expériences de paternité des hommes réfugiés syriens réinstallés au Canada. Il est membre du projet de recherche Syria.lth et a été associé de recherche au projet Healing Together de l'Association des femmes afghanes à Toronto.
Marc-Antoine Barré, intervenant, Centre multiethnique de Québec
Marc-Antoine Barré est intervenant en immigration temporaire au Centre Multiethnique de Québec. Il est également chargé de cours et étudiant au doctorat en travail social à l’Université Laval. Il détient un baccalauréat en études du développement international de l’Université McGill, une maîtrise en travail social de l’Université Laval et une maîtrise en anthropologie de l’Université Laval.
Nebila Jean-Claude Bationo, Ph.D. en psychopédagogie, UQAT
Nebila Jean-Claude Bationo, Ph.D. en psychopédagogie, est un professionnel de recherche à l’UQAT et à l’Université Laval. Il s’intéresse au développement de l’enfant, à la paternité, à la relation père-enfant dans des contextes de changement, notamment celui de l’immigration et aux relations interculturelles. La masculinité et l’identité paternelle chez les hommes immigrants en lien avec leur adaptation et leur engagement dans la vie de leurs enfants constituent des sujets sur lesquels il mène également des réflexions. C’est dans cette optique qu'il coordonne le projet de recherche sur la conception d’ateliers au profit des hommes immigrants, mais aussi des personnes qui interviennent auprès d’eux, sous la direction du Professeur Bergheul.
Jean-Pierre Beauchamp, travailleur social et formateur en Intervention auprès des hommes en détresse, PRAIDA, CIUSSS Centre-Ouest-de-l'Ile-de-Montréal
Jean-Pierre Beauchamp a travaillé en tant qu’organisateur communautaire pendant 20 ans. Il est engagé dans le développement de ressources pour pères.
Laurent Bélanger, candidat au doctorat, Département de psychoéducation et psychologie, UQO
Laurent Bélanger est candidat au doctorat en psychologie à l’Université du Québec en Outaouais. Sa thèse porte sur l’évaluation des effets du programme Espace Parents, une intervention visant à accompagner les personnes immigrantes dans l'adaptation de leur rôle parental. Titulaire d’une maîtrise en psychologie, M. Bélanger travaille également comme assistant de recherche pour le Centre d’expertise sur le bien-être et l’état de santé physique des réfugiés et des demandeurs d’asile (CERDA).
Youssef Benzouine, candidat au doctorat, Institut d'études religieuses, Université de Montréal
Youssef Benzouine poursuit actuellement un doctorat en sciences des religions à l'Université de Montréal. Avant d'entamer son doctorat, il a occupé le poste d'organisateur communautaire, se consacrant à la défense des droits des locataires. En parallèle à ses études doctorales, M. Benzouine occupe le poste de président au sein de son association étudiante et celui de vice-président du Conseil interculturel de Montréal. Ses engagements académiques et communautaires illustrent son dévouement à la recherche en sciences des religions ainsi qu'à la promotion des droits et de la diversité culturelle dans la communauté.
Saïd Bergheul, professeur agrégé, École de psychoéducation, UQAT
Saïd Bergheul est professeur agrégé à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT). Il a déjà exercé en tant que professeur-chercheur dans plusieurs universités nord-africaines, européennes et nord-américaines. Il possède une solide formation interculturelle et ses intérêts de recherche portent sur l’immigration et l’insertion des immigrants dans les milieux qui les accueillent. Au cours des dernières années, il a mené plusieurs projets de recherche sur l’adaptation des pères immigrants à leur arrivée au Québec. Il mène actuellement une étude sur l’implantation et l’évaluation d’un programme destiné à des pères immigrants. Il dirige en ce moment le Laboratoire de recherche sur les difficultés d’adaptation et l’intervention psychosociale (LAREDAIP) à l’UQAT et encadre plusieurs étudiants au niveau maîtrise, doctorat et postdoctorat sur des problématiques reliées à l’immigration.
Marie-Jeanne Blain, chercheure, Centre de recherche et de partage des savoirs InterActions et professeure associée, Département d’anthropologie, Université de Montréal
Marie-Jeanne Blain, chercheure au Centre de recherche et de partage des savoirs InterActions et professeure associée en anthropologie à l'Université de Montréal, se focalise sur la recherche liée à l'immigration au Québec. Ses travaux portent notamment sur l'intégration socio-professionnelle des personnes immigrantes et réfugiées, explorant les trajectoires d'intégration ainsi que les ressources de soutien formelles et informelles. Son postdoctorat s'est penché sur la mise en application de programmes en employabilité pour les personnes immigrantes, avec un intérêt particulier pour les défis liés à l'accessibilité des services et à l'adaptation des pratiques. Son doctorat a abordé les trajectoires d'intégration des médecins diplômés à l'étranger, mettant en lumière les ressources et stratégies mobilisées. Engagée dans la pratique en employabilité et en première ligne, elle contribue à la mobilisation des connaissances à travers des formations et des ateliers destinés aux intervenants et gestionnaires, poursuivant ses recherches de manière qualitative et sensible.
Monica Boquin, responsable de l'engagement communautaire, White Ribbon
Monica est responsable de l'engagement communautaire chez White Ribbon. Elle travaille à organiser des projets et à construire des relations significatives pour faire avancer la prévention de la violence sexiste et les initiatives sur la masculinité saine. Monica est passionnée par le soutien aux femmes et travaille à éradiquer la violence sexiste. Elle possède une vaste expérience dans la gestion et la création d'ONG au Canada et à l'international. Avant de rejoindre White Ribbon, elle a travaillé à la création de différentes initiatives pour soutenir les nouveaux arrivants pendant leur transition au Canada.
Marie-Laurence Bordeleau-Payer, docteure en sociologie, chercheure collaboratrice, IU SHERPA et chargée de cours, UQO
Marie-Laurence Bordeleau-Payer est sociologue, chercheure postdoctorale en sciences de la santé à l’UQO et chercheure collaboratrice à l’IU Sherpa. Ses travaux s’inscrivent dans une approche psychosociologique et portent notamment sur les enjeux de santé mentale au sein de la diversité ethnoculturelle.
Nabila Bouchala, coordonnatrice, Projet Pères immigrants, Regroupement pour la Valorisation de la Paternité
Nabila Aldjia Bouchala, Phd en communications, chargée de cours au département de sociologie et à l'école des médias à l'UQAM. Auteure de plusieurs articles scientifiques portant sur la sociologie des médias et sur les usages du numérique. S'intéresse à la question de la co-construction identitaire des immigrants maghrébins sur les plateformes des réseaux sociaux numériques. Anciennement, agente de recherche-coordonnatrice du projet portant sur l'Adaptation des pratiques des organismes communautaires aux réalités des pères immigrants
Lucio Castracani, chargé de projet, Institut universitaire SHERPA et postdoctorant, Université de Sherbrooke
Lucio Castracani est titulaire d'un doctorat en anthropologie de l'Université de Montréal. Ses recherches portent sur les migrations internationales de travail, sur les différentes modalités de marchandisation du fait migratoire et sur l'agriculture. Il est aussi chargé de projet ''Accès au soin pour les travailleurs et travailleuses migrant.es'' à IU SHERPA.
Marianne Chbat, sociologue et PhD en sciences humaines appliquées, Université de Montréal
Sociologue et PhD en sciences humaines appliquées de l’Université de Montréal, Marianne Chbat est boursière du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH 2018-‐2020) et chercheure postdoctorale au département de travail social de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Ayant réalisé des recherches sur les expériences différenciées de jeunes gais et lesbiennes issu.e.s de la diaspora libanaise à Montréal ainsi que sur les articulations identitaires de mères exerçant de la violence, ses champs d’intérêts variés lient notamment les questions identitaires aux enjeux de genre, des sexualités, des maternités et de l’ethnicité dans une perspective féministe intersectionnelle. Sa recherche postdoctorale en cours propose une analyse comparative des politiques sociales au Québec, en France et en Suisse qui touchent les protections et les reconnaissances des familles lesboparentales.
Nancy Clark, directrice des études sur la justice sociale et professeure associée à la Faculté du développement humain et social, École des sciences infirmières de l'Université de Victoria
Dr Nancy Clark est directrice des études sur la justice sociale et professeure associée à la Faculté du développement humain et social à l’École des sciences infirmières de l'Université de Victoria. Dr Clark est chercheure affiliée à l'Université de la Colombie-Britannique (UBC) au Centre d'études sur la migration et à l'Institut sur le vieillissement et la santé tout au long de la vie (IALH) de l'UVic. Les recherches du Dr Clark portent sur les intersections du genre, de la migration forcée et de la santé mentale ainsi que sur l'équité en matière de santé et de soins de santé.
Faty Diambang, conseiller en intégration sociale, CARI St-Laurent
Faty Diambang est un conseiller en intégration sociale au CARI Saint-Laurent. Il est détenteur d’une licence de Sociologie de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar au Sénégal, d’un diplôme de maîtrise en médiation interculturelle de l’université de Sherbrooke, d’un diplôme universitaire en médecines et soins transculturels et un Master en anthropologie avec comme spécialité la santé, migration et médiation, tous les deux obtenus à l’Université de Bordeaux en France. Faty est un passionné de l’intervention et des relations interculturelles en contexte migratoire.
Anaïs El Amraoui, professionnelle de recherche, Institut universitaire SHERPA
Anaïs F. El-Amraoui est titulaire d’une maîtrise en criminologie de l’Université de Montréal, et d'un diplôme de gestion de HEC Montréal. Elle est présentement chargée de projet à l'IU SHERPA. Elle travaille principalement sur des projets de recherche et de partenariats avec des personnes proches aidantes issues de communautés ethnoculturelles minoritaires et d'expression anglaise (PAGEMA) pour améliorer les services qui leurs sont offerts. Elle a aussi travaillé sur plusieurs projets en lien avec les pratiques interculturelles dont l'intervention auprès des hommes immigrants et les pratiques inclusives dans le milieu communautaire.
Berna Elias, candidate au doctorat, École de travail social, Université de Montréal
Berna Elias est Candidate au doctorat à l'École de travail social de l'Université de Montréal. Elle a une expérience locale et internationale dans l'accompagnement des personnes en situation de neurodiversité, de leurs familles et des professionnel.elle.s qui leur offrent des services de réadaptation. L’intervention de Berna est centrée sur l'individu en interaction avec son environnement bio-psycho-socio-culturel et son approche est ancrée dans les pratiques anti-oppressives et la sociologie clinique. En recherche, Berna s'intéresse à mettre en dialogue le savoir expérientiel, le savoir professionnel et le savoir scientifique. Elle adopte des méthodes de recherche participatives et partenariales pour analyser les concepts de partenariat enfant-parent-professionnel.elle dans l'intervention, le contexte transculturel et la parentalité en contexte d'immigration. Elle a également un intérêt pour la création d’outils pédagogiques et d'intervention, ainsi que des ateliers visant à promouvoir la réflexivité critique et la prise de conscience sur les défis qui peuvent affecter la relation d’aide.
David Este, professeur émérite en travail social, University of Calgary
David Este est professeur émérite à la Faculté de service social à l'Université de Calgary. Une grande partie de ses recherches tourne autour de différents aspects de l’expérience d’immigrant/réfugié au Canada. Il s'est intéressé, notamment, au racisme, au bien-être des hommes immigrants au Canada et au recours aux services de lutte contre le VIH/sida par les nouveaux arrivants africains à Calgary. Il étudie la question des pères immigrants depuis plus de 20 ans.
Jorge Flores-Aranda, professeur, École de travail social, UQAM
Jorge Flores-Aranda est professeur à l’École de travail social de l’Université du Québec à Montréal, il est chercheur régulier à l’Institut universitaire sur les dépendances, au regroupement Recherche et intervention sur les substances psychoactives – Québec (RISQ), au Centre de recherche Charles-Le Moyne – Saguenay-Lac-Saint-Jean sur les innovations en santé ainsi qu’au Réseau de recherche en santé des populations du Québec. Il s’intéresse aux liens entre la consommation de substances et la sexualité, aux problématiques sociales vécues par des populations marginalisées, dont les personnes de la diversité sexuelle et de genre. Il se penche également sur le recours aux nouvelles technologies dans les interventions sociales. Dans le cadre de ses projets, il travaille en étroite collaboration avec le milieu de pratique, particulièrement des organisations communautaires.
Luz Garcia, directrice des opérations, 4korners
Luz Garcia, directrice des opérations chez 4Korners depuis plus de 3 ans, est originaire du Panama, ce qui confère à l'organisation un arrière-plan culturel diversifié. Avec une histoire d'intégration distincte, Luz apporte une perspective nouvelle à son travail, contribuant à l'approche inclusive de l'organisation.
Christine Gervais, professeure titulaire, Département des sciences infirmières, UQO
Christine Gervais est professeure titulaire au département des sciences infirmières à l'Université du Québec en Outaouais. Chercheuse à l'Institut Universitaire SHERPA et co-directrice du laboratoire de recherche Tout un Village, ses travaux portent sur la santé des familles dans différents contextes, dont l'immigration. Elle s’intéresse également au développement et à l’évaluation d’intervention et de programmes pour les familles.
Ahmed Hamila, professeur adjoint, Département de sociologie, Université de Montréal
Ahmed Hamila est professeur adjoint au département de sociologie de l’Université de Montréal. Spécialiste des migrations internationales et des enjeux de genres/sexualités, ses travaux actuels portent sur les politiques d’asile liées à l’orientation sexuelle et à l’identité de genre, sur l’accès aux soins des populations migrantes vulnérables et sur les solidarités transnationales. Il a été chercheur invité dans plusieurs universités dont University of Victoria, Sciences Po Paris et University of Warwick, ainsi que Queen Elisabeth Scholar et Wiener-Anspach fellow à University of Oxford et à University of Cambridge. Ses travaux ont été publiés dans Politique et sociétés, Gouvernement et action publique, Alterstice, Intervention ainsi que dans plusieurs ouvrages collectifs de référence.
Jill Hanley, directrice scientifique, Institut universitaire SHERPA; professeure titulaire, École de travail social, Université McGill
Jill Hanley est Professeure en travail social à l'Université McGill et Directrice scientifique de l'IU SHERPA. Ses recherches portent sur l'accès aux droits sociaux, incluant la santé, le logement et le travail, pour les migrants à statut précaire. Elle est également co-fondatrice du Centre des travailleurs et travailleuses immigrants, où elle est activement impliquée depuis plus que 20 ans.
Candidat au doctorat, École de travail social, Université McGill
Mahmudul Hassan est un doctorant à l’École de travail social de l'Université McGill. En tant que chercheur et praticien, il compte plus de 6 ans d'expérience de travail en Asie, en Europe et en Amérique du Nord. Il a obtenu son baccalauréat en sciences sociales et sa maîtrise en sciences sociales en travail social en 2013 et 2014, respectivement, à l'Université de Dhaka, au Bangladesh. Dans le cadre du programme de bourses Erasmus Mundus, financé par l'Union européenne, il a obtenu sa deuxième maîtrise en travail social en 2020.
Stéphane Hernandez, travailleur social, programme Santé Mentale Jeunesse, CIUSSS-du-Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal
Stéphane Hernandez est travailleur social au programme Santé Mentale Jeunesse du CIUSSS-du-Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal et praticien chercheur à l’Institut Universitaire SHERPA. Depuis 2014, il collabore également aux activités du Regroupement pour la Valorisation de la Paternité (RVP) afin de sensibiliser les organismes communautaires famille aux réalités des pères immigrants. Il agit à titre de consultant expert dans la recherche-action et portant sur l’adaptation des pratiques auprès des pères immigrants (subvention MIFI). Il est l’auteur d’un ouvrage qui traite de l’impact de l’immigration sur les hommes et leur vécu familial, paru en 2007.
Adriana Hernandez Sierra, intervenante sociale, Centre INICI
Adriana Hernandez Sierra est une intervenante sociale expérimentée au Centre INICI, où elle anime les Groupes d'intégration pour hommes immigrants. Forte de plus de 12 ans d'expérience dans les centres d'aide aux immigrants, elle a également été coordinatrice interculturelle et conseillère en emploi. Pendant dix ans, de 2012 à 2022, elle a dirigé avec succès le programme d'intégration des nouveaux arrivants à Verdun. Son expertise se concentre sur l'intégration des hommes immigrants.
Veronica Islas, directrice générale, Carrefour de ressources en interculturel (CRIC)
Veronica Islas est directrice du CRIC depuis 2012. Son rôle consiste à concrétiser la mission de l'organisme et à accroître sa visibilité. Diplômée d'une maîtrise en politique publique et administration publique de l'Université Concordia, ainsi que de DESS en développement économique communautaire de l'École des affaires communautaires et publiques, et en journalisme de l'Université Concordia, elle a été honorée de la médaille de l'Assemblée nationale du Québec et du PRIX Bravo du conseil des commissaires de la CSSDM. Avec plus de 15 ans d'expérience dans le secteur communautaire, notamment à l'Agence de la santé publique du Canada, en tant qu'immigrante, elle partage la vision et la mission du CRIC en favorisant l'inclusion et le rapprochement interculturel. Elle reconnaît l'importance de l'accompagnement offert par le CRIC, convaincue qu'il peut transformer la vie des personnes bénéficiaires, tout comme elle a été soutenue par ses professeurs d'université.
Danial Jamal, étudiant, École de travail social, University of Calgary
Danial Jamal est un étudiant pachtoune de premier cycle en travail social pachtoune à l'UCalgary, résidant actuellement sur les terres traditionnelles du traité Sept. Danial aide la Faculté de travail social de l'UCalgary dans la rédaction d'articles et l'organisation des données pour leur recherche sur la prévention de la violence domestique, en impliquant les hommes ethnoculturels en tant que leaders de leurs communautés.
Derrolton James, gestionnaire des services de soutien clinique, CIUSSS-Centre-Ouest-de-l'Ile-de-Montréal et directeur et superviseur clinique, Clinique sur la Violence familiale de McGill
Derrolton James est un travailleur social qui possède plus de 20 ans d'expérience dans le domaine de la protection de la jeunesse. Actuellement, il est le gestionnaire des services de soutien clinique, une équipe multidisciplinaire et multisite composée de psychologues, d'art-thérapeutes, de psychothérapeutes, de conseillers et de travailleurs sociaux aux Centres jeunesse et famille Batshaw. Il est également directeur du Centre de gestion de la colère de Montréal et de la Clinique de Violence Domestique de McGill. Derrolton dispense des formations expérientielles basées sur les traumatismes pour le réseau de la protection de la jeunesse, les organisations communautaires et les communautés autochtones. Sa pratique privée inclut également des séances de consultation avec des adolescents, des adultes, des couples, des familles et des groupes.
Eloïse Jaumier, étudiante à la maitrise en anthropologie et auxiliaire de recherche, Université de Montréal
Eloïse Jaumier est étudiante à la maitrise en anthropologie et auxiliaire de recherche à l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur la place accordée au travail, dont la santé des travailleurs, les processus d’intégration socioprofessionnelle chez les jeunes et les ressources de soutien en employabilité. Dans le cadre de sa maitrise, elle s’intéresse aux effets des procédures médico-administratives sur les pratiques de soins entourant les lésions professionnelles.
Marie-Rosaire Kalanga Wa Tshisekedi, psychologue spécialiste en transculturel, fondatrice de l’organisme Baobab familial
Bio à venir
Badri Karki, travailleur social
Badri Karki (il/lui) est arrivé du Népal au Canada en 2013. Il est travailleur social agréé et chercheur, passionné et engagé à servir la communauté et les individus pour un changement positif dans leur vie. Il a plusieurs années d'expérience en travail social direct et indirect, y compris la pratique du travail social avec des individus et des familles, les handicaps développementaux, la santé mentale, le travail social communautaire et la recherche, au Népal et au Canada. Il a obtenu une maîtrise en travail social de l'Université Wilfrid Laurier, un diplôme en travail social du Bow Valley College et une maîtrise en arts (développement rural) de l'Université Tribhuwan, Népal. Il possède une vaste expérience de recherche en action communautaire et en méthodes quantitatives et qualitatives. Son principal domaine de recherche est les immigrants et leur bien-être au Canada. Il s'engage également dans la défense des intérêts de la communauté, la mobilisation des ressources, la planification communautaire et l'évaluation et le suivi des programmes.
Kamal Khatiwada, travailleur social et coordonnateur, Transforming Field Education Landscape (TFEL), University of Calgary
Kamal est un travailleur social agréé (RSW) auprès du Alberta College of Social Workers (ACSW) et il est coordonnateur de la formation et du mentorat dans le projet Transforming Field Education Landscape (TFEL) à l'Université de Calgary à la Faculté de travail social. Kamal a obtenu son baccalauréat en sciences de la santé de l'Université de Lethbridge et sa maîtrise en travail social de l'Université de Calgary. Kamal est un facilitateur du bien-être des hommes et dirige un groupe avec les hommes bhoutanais parlant népalais à Lethbridge, en Alberta, qui est un territoire du traité Sept, terre traditionnelle des Siksika, Piikani et Kainai.
Mert Kimyaci, étudiant à la maîtrise, École de travail social, Université McGill et assistant de recherche, Regulation, Affect and Development Laboratory
Candidat à la maîtrise en travail social à l'Université McGill avec une spécialisation en Santé et Services Sociaux, Mert Kimyaci apporte une combinaison unique d'expérience personnelle et d'engagement professionnel dans ses recherches sur l'immigration, la diversité et la santé. Son travail explore principalement les récits complexes des hommes immigrés auteurs de violence conjugale, un domaine qui définit également son projet d'étude indépendant. En tant qu'homme immigré, il s'engage dans ces questions non seulement sur le plan académique mais à travers le prisme de l'expérience vécue, dans le but de contribuer à une compréhension plus approfondie et à des interventions plus efficaces dans ces domaines critiques.
Tano Hubert Konan, étudiant au doctorat, Sciences de l’éducation, UQAT
Tano Hubert Konan est inscrit au doctorat en éducation à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Il possède une solide formation en démographie et en administration publique, option évaluation des programmes. Ses intérêts de recherche portent sur l’immigration et l’engagement scolaire des pères immigrants auprès de leur enfants. Il fait partie du laboratoire de recherche sur les difficultés d'adaptation et l'intervention psychosociale (LAREDAIP) à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue et travaille au bureau du registraire de l’Université. Il occupe aussi un poste de conseiller en service à la communauté étudiante internationale de l’UQAT.
Karamo Faruk Konneh, assistant de recherche et étudiant à la maîtrise, Université de Montréal
Karamo Faruk Konneh est un jeune commentateur et militant socio-économique passionné. Il se spécialise dans les études sur la migration et a publié des articles académiques sur la migration en Afrique. Il est titulaire d'une licence en sociologie de l'Université Bolu Abant Izzet Baysal et d'une maîtrise en études sur la migration de l'Université des sciences sociales d'Ankara. Il poursuit actuellement une deuxième maîtrise en sociologie à l'Université de Montréal, mettant l'accent sur le développement politique et organisationnel.
Papa Ladjiike Diouf, directeur des services cliniques, SALUS Ottawa. Superviseur clinique, Université Saint-Paul, Ottawa
Papa Ladjiké Diouf est un sénégalo-canadien possédant deux maîtrises en sociologie et psychologie avec des certificats de spécialisation dans des problématiques diverses dont la base est le Traumatisme. Il travaille depuis 14 ans comme psychothérapeute (8 ans en Afrique et 6 ans au Canada) dont 6 années comme superviseur clinique et formateur. Il est actuellement directeur des services cliniques à SALUS Ottawa, tout en étant superviseur clinique à l’Université Saint-Paul d’Ottawa. Il a travaillé dans plusieurs environnements (Afrique et Canada) et avec différentes clientèles (hommes, femmes, adolescents, couple et famille) sur des problématiques variées (traumatismes, migrations, dépression, anxiété, travailleurs sexuels, enfants des rues, dépendances et troubles concomitants, etc.). Actuellement, il s’intéresse à la clientèle immigrante dans ses défis au niveau de la santé mentale et des dépendances.
Daniella Landrys Fitiavanjanahary, étudiante au doctorat, UQAM
Daniella Landrys a obtenu une maîtrise en études et recherches sociologiques à l'Université de Toulouse 2 Jean Jaurès. Actuellement, elle poursuit ses études doctorales en sociologie à l'Université du Québec à Montréal. Son sujet de recherche porte sur les effets de l'utilisation de l'intelligence artificielle sur la représentativité et la diversité dans les jeux vidéo. Daniella occupe le poste d'assistante de recherche dans le cadre du projet « Adaptation des pratiques des organismes communautaires aux réalités des pères immigrants ». Ce projet est mené par le Regroupement pour la Valorisation de la Paternité (RVP), en collaboration avec l’Institut Universitaire SHERPA.
Annie LeBrun, psychologue, Clinique Polarisation - CIUSSS Centre-Ouest-de-l'Île-de-Montréal et agente de planification, de programmation et de recherche, IU SHERPA
Annie LeBrun est intervenante dans le réseau de la santé et des services sociaux québécois depuis plus de 15 ans. Elle est actuellement psychologue à la clinique Polarisation du CIUSSS Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal et Agente de planification, de programmation et de recherche à l’Institut universitaire SHERPA. Elle est chargée de projet pour le développement de formations et d’outils pour l’intervention interculturelle, notamment auprès des équipes travaillant auprès des jeunes et des familles. Elle s’intéresse à ce sujet depuis plusieurs années; sa thèse de doctorat a d’ailleurs porté sur l’intervention interculturelle en Centre jeunesse.
Julie Ledoux, directrice et intervenante, Baobab familial
Directrice du Baobab Familial depuis mars 2020, Julie Ledoux y est aussi intervenante sociale auprès des familles de Côte-des-Neiges depuis 2018. Elle est titulaire d'une maîtrise en travail social de l'UQÀM (« Mobiliser une communauté territoriale en situation d'exclusion: Pistes pour le développement de nouvelles avenues communicationnelles » - 2019), et d'une maîtrise en littératures de langue française (« L'âme escogriffe » des Colocs: ironie et critique sociale dans la chanson québécoise engagée » - 2011). Auparavant journaliste en arts et culture (VOIR, Bang Bang, CIBL, etc.) pendant une dizaine d'années, Julie a effectué un changement de carrière dans le but de contribuer au changement social, ainsi qu'au développement et à l'empowerment des communautés. Elle est aussi intervenante bénévole pour la Croix-Rouge canadienne depuis 2015. Elle travaille actuellement à Côte-des-Neiges, le quartier où elle a grandi.
Edward Ou Jin Lee, professeur agrégé, École de travail social, Université de Montréal
Edward Ou Jin Lee est professeur à l’École de travail social de l’Université de Montréal. Ses intérêts de recherche portent sur l’accès aux soins de santé, la défense des droits, le militantisme et la construction de connaissances avec et sur les personnes queer, trans, noires, autochtones, autres personnes racisées (QTBIPOC) et migrantes. S’appuyant sur des méthodologies de recherche critique, participative, communautaire et interventionnelle, Ed vise à approfondir la compréhension des initiatives menées par les pairs, notamment par et pour les groupes opprimés, y compris les personnes sans-statut, en situation de rue et vivant avec le VIH. Ses intérêts incluent également les recherches visant à favoriser le travail social anti-oppressif, anti-raciste, réflexif et décolonial, en particulier dans le cas d’intervention en contexte de la COVID-19. Cela comprend l’intervention en contexte de deuil auprès des individus, des familles et des communautés, notamment opprimées. Les intérêts pédagogiques d’Ed comprennent la mobilisation des pédagogies critiques, axées sur la pleine conscience, fondées sur l’enquête et tenant compte des traumatismes afin de favoriser les apprentissages transformationnels dans la formation en travail social, y compris la formation pratique.
Laurence Lefebvre-Beaulieu, agente de liaison et formatrice, Projet Pères immigrants, Regroupement pour la Valorisation de la Paternité
Laurence Lefebvre-Beaulieu est formée en médiation interculturelle et coordonne actuellement un projet de recherche-action « Adaptation des pratiques des organismes communautaires aux réalités des pères immigrants » au sein du Regroupement pour la Valorisation de la Paternité (RVP). Depuis 2017, elle a œuvré dans différentes organisations autour du développement de formations et d’outils d’intervention sur différentes thématiques reliées aux questions d’immigrations, d’interculturalité, de jeunesse et de périnatalité sociale. Elle a notamment coordonné la formation « Intervenir en contexte d’immigration et de diversité ethnoculturelle » disponible sur la plateforme provinciale ENA (Environnement numérique d’apprentissage).
Josiane Le Gall, chercheure d’établissement, Institut universitaire SHERPA et professeure associée, département d’anthropologie, Université de Montréal
Josiane Le Gall est professeure associée au département d’anthropologie de l’Université de Montréal et chercheure d'établissement à l’Institut universitaire SHERPA. Elle est également membre régulière du Centre d’études ethniques des universités montréalaises (CEETUM). Ses travaux portent sur les familles transnationales et les familles mixtes. Depuis quelques années, elle s’intéresse aussi aux pratiques de soins et à la diversité ethnique et religieuse en milieu hospitalier et communautaire (périnatalité et accompagnement en fin de vie).
Liza Lorenzetti, professeure, Faculté de travail social, University of Calgary, militante et membre de l'Alberta Men’s network
Dr Liza Lorenzetti est d'origine italienne, née à Tiohtià:ke (Montréal) et vivant à Mokhinistsis (Calgary), traité Sept. Elle vit dans une famille interculturelle et multilingue avec son partenaire Arya Boustani, d'origine iranienne, et l'adolescente inspirante Parisa. En tant qu'activiste-éducatrice à la Faculté de travail social de l'Université de Calgary, l'enseignement et la recherche de Liza sont informés par trois décennies de pratique et d'activisme en matière de violence sexiste, d'inégalités de richesse, de racisme et de colonialisme des colons. Elle continue à travailler au sein de la communauté pour influencer les politiques et les pratiques, et renforcer les capacités des leaders, des chercheurs et des étudiants à promouvoir la justice sociale et le bien-être à travers une lentille intersectionnelle. En tant que colon blanc, Liza s'engage à suivre un chemin d'apprentissage et d'action vers la Vérité et la Réconciliation.
Julio César Macario de Medeiros, conseiller de recherche, École de psychoéducation, Université de Montréal
Depuis son installation au Québec en 2014, Julio César Macario de Medeiros est devenu le fier père de deux filles. Ayant complété un doctorat en psychoéducation à l'Université de Montréal, centré sur la relation père-enfant, ainsi qu'un postdoctorat en psychologie à l'Université du Québec à Trois-Rivières, portant sur la collaboration coparentale, il intègre désormais l'équipe de recherche de l'Initiative Espace Parents en qualité de conseiller de recherche.
Katherine Maurer, professeure adjointe, École de travail social, Université McGill
Katherine Maurer PhD LMSW est professeure associée à l'École de Travail Social de l'Université McGill. Elle a obtenu un doctorat en travail social clinique à l'École de Travail Social Silver de l'Université de New York et a exercé à New York en tant que thérapeute en traumatologie et travailleuse sociale clinique auprès de diverses populations marginalisées. Elle s'engage à remettre en question l'oppression systémique, le racisme, et à promouvoir des soins basés sur les traumatismes dans la recherche et la pratique auprès des adultes et des jeunes confrontés à la violence familiale, des personnes en situation d’itinérance et au sein des systèmes de prestation de services.
Lisa Merry, professeure associée, Faculté des sciences infirmières, Université de Montréal
Lisa Merry est infirmière et professeure associée à la Faculté des sciences infirmières de l'Université de Montréal, ainsi que chercheuse régulière à l'Institut universitaire SHERPA. Elle est également responsable de l'Axe Santé Mondiale au sein du Réseau de recherche en santé des populations du Québec, financé par le FRQS. Ses recherches se concentrent principalement sur le transnationalisme et le bien-être psychosocial des parents migrants pendant la période périnatale et la petite enfance.
Betty Millien, responsable des programmes en Petite enfance et Familles, 4korners
Betty Millien est la responsable des programmes de la petite enfance et de la famille chez 4Korners et elle est basée au bureau principal de Deux-Montagnes depuis plus de 5 ans. Avec des opérations couvrant les Laurentides, Betty apporte une grande expérience et une passion à son rôle. Née au Canada de parents haïtiens, l'éducation de Betty lui a donné une perspective unique sur l'intégration, à la fois personnellement et à travers le prisme de sa famille. Bien qu'elle n'ait pas vécu l'intégration directement, Betty a recueilli des informations précieuses de ses parents et du père haïtien de ses enfants, ce qui lui a permis de mieux comprendre les dynamiques culturelles.
Nathaniel Mosseau, chercheur et clinicien, Université McGill
Bio à venir
Marie-Rose Moro, pédopsychiatre, Université de Paris Cité, Hôpital Cochin, Paris
Marie-Rose Moro est docteure en médecine et en sciences humaines et psychanalyste avec une formation en anthropologie. Depuis 30 ans, elle développe une clinique et une thérapie transculturelles qui tentent d'adapter nos cadres de soins, nos techniques et nos méthodes de recherche en santé mentale aux familles immigrées et à leurs enfants. Actuellement cheffe de service de la Maison des adolescents de l’hôpital Cochin (APHP), Maison de Solenn, elle est une leader internationale de la psychiatrie transculturelle de l'enfant, de l'adolescent et de la famille.
Omaira Naweed, candidate au doctorat, UQAM
Omaira Naweed est actuellement doctorante en psychologie à l'Université du Québec à Montréal, où sa thèse se concentre sur la compréhension du phénomène de la violence conjugale au sein de la population immigrante de l'Asie du Sud. Son intérêt particulier réside dans l'exploration de la perspective des hommes de cette communauté face à la violence conjugale. Son travail de recherche vise à apporter des éclairages significatifs sur cette problématique, en examinant les expériences, les perceptions et les défis spécifiques auxquels les hommes issus de cette population peuvent être confrontés dans le contexte de la violence conjugale.
Jean-Pierre Ndiamy, intervenant, Centre multiethnique de Québec
Jean Pierre Ndiamy est intervenant en soutien aux hommes immigrants au Centre multiethnique de Québec. En parallèle, il mène un projet de recherche doctoral sur l’engagement paternel à l’Université Laval dans le département des pratiques et fondements en éducation avec comme spécialité l’administration et les politiques en éducation.
Thierry Nguiamba, conseiller en intégration sociale, CARI St-Laurent
Tierry Nguiamba est conseiller en intégration sociale au CARI St-Laurent depuis plus de 5 ans. Il a une maîtrise en droit et a toujours été attiré par la relation d’aide. D’origine camerounaise, il réside au Québec depuis une dizaine d’années et a plus de 10 ans d’expérience professionnelle dans l’action communautaire. Depuis sa création en 2020, il est porteur du Comité Espace Hommes au CARI St-Laurent, une plateforme d’échanges, de discussion, de partage d’expériences et de prise de parole pour hommes immigrants. Justice sociale, équité, et inclusion sociale sont les valeurs qu’il défend et partage.
Astou Niane, travailleuse sociale et formatrice en Intervention auprès des hommes en détresse, PRAIDA, CIUSSS Centre-Ouest-de-l'Ile-de-Montréal
Astou Niane détient une maitrise en travail social avec une spécialisation en approche ethnoculturelle. Elle compte 10 ans d'expérience en santé mentale.
Sylvie Pelletier, chercheure, Institut de coopération pour l'éducation des adultes (ICÉA)
Sylvie Pelletier est chercheure à l’Institut de coopération pour l’éducation des adultes depuis 2020. Historienne de formation, elle a enseigné plusieurs années et a travaillé par la suite comme consultante en histoire. Elle détient également une maîtrise en santé publique qui l’a amenée à œuvrer dans des projets s’intéressant aux effets des inégalités sociales sur la santé des populations, et en particulier sur la santé des groupes vulnérables.
Natalie Pouliot, directrice générale, Coalition des organismes communautaires pour le développement de la main-d’oeuvre / COCDMO
Avocate de formation, Natalie Pouliot a entrepris son parcours professionnel au sein d’un cabinet ministériel en tant qu’attachée politique. Devenue membre du Barreau, elle a ensuite joint les rangs d’un cabinet multidisciplinaire afin d’y amorcer une riche pratique en droit du travail et de l’emploi. En 2011, elle rejoint les rangs d’une OBNL pionnière dans le recrutement d’une main-d’œuvre étrangère. À titre de codirectrice générale, elle acquiert une précieuse expérience des relations gouvernementales de nature locale, nationale et étrangère. En mai 2022, elle décide de relever de nouveaux défis en assumant la direction générale de la Coalition des organismes communautaires pour le développement de la main-d’œuvre.
Jean Ramdé, professeur titulaire, Université Laval
Jean Ramdé est professeur titulaire à l’Université Laval. Il est membre de l’Ordre des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec (OPPQ). Jean Ramdé est chercheur régulier dans des centres de recherche, dont le Centre interdisciplinaire de recherche sur l’Afrique et le Moyen-Orient (CIRAM), le Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF), et dans des équipes de recherche, dont l’Équipe de recherche en partenariat sur la diversité culturelle et l’immigration dans la région de Québec (ÉDIQ). Ses recherches actuelles s’articulent autour du bien-être et de la santé des hommes, de la détresse psychologique des étudiants internationaux en contexte pandémique, de l’intégration des immigrants, de l’engagement paternel en contexte migratoire et de l’implication des hommes dans la santé des mères et des enfants de 0 à 5 ans au Burkina Faso.
Myriam Richard, candidate au doctorat, École de travail social, Université de Montréal et coordonnatrice, Espace Intervenant
Myriam Richard a plus de 10 ans d'expérience en recherche, en formation et en intervention sociale dans les domaines de l’immigration, du refuge et de l’interculturel, son travail vise une meilleure compréhension des expériences vécues par les personnes réfugiées et (im)migrantes ainsi que la défense de leurs droits en partant du point de vue des personnes concernées et des intervenant.es qui les soutiennent. Il vise également l’adaptation des pratiques d’intervention et de recherche par le biais de projet de recherche-action misant sur des partenariats intersectoriels. Sa thèse de doctorat en travail social a mobilisé des approches féministes transnationales, intersectionnelles et les études critiques sur la famille afin d’étudier les expériences de séparation et de réunification de familles réfugiées transnationales au Québec et ailleurs dans le monde.
Yannick Sanschagrin, M.SC. en anthropologie et assistant de recherche, UQAT
Yannick Sanschagrin, M.SC. en anthropologie est spécialisé en anthropologie économique sur les réseaux de monnaie locale complémentaire (MLC). Il s’est joint à l’équipe du Laboratoire de recherche sur les difficultés d’adaptation et l’intervention psychosociale (LAREDAIP) en tant que stagiaire dans le cadre d’une une étude sur les pères immigrants d’expression anglophone au Québec.
Merling Sapene, M-Transition
Merling Sepene est une leader transformationnelle passionnée et axée sur la performance, forte de plus de 15 ans d'expérience dans la réalisation de résultats exceptionnels et l'apport d'innovations à des projets complexes de transformation d'entreprise. En mettant à profit son expertise, Mme Sepene intègre les personnes, les processus et la technologie, démontrant une vision globale et une connaissance approfondie du sujet dans le développement et la mise en œuvre de programmes pour les employé.e.s. Elle excelle dans la refonte des meilleures pratiques et est reconnue pour son approche axée sur le client, bénéficiant d'une solide réputation en matière de crédibilité, d'éthique et d'interventions à valeur ajoutée. Mme Sepene excelle dans l'influence des principales parties prenantes, la facilitation de la cohésion d'équipe et est réputée pour son style de leadership collaboratif. En tant que coach et mentor inspirante, elle s'engage à aider les individus à se développer et à surmonter les obstacles. L'enthousiasme, l'énergie et la persévérance de Mme Sepene, associés à des compétences supérieures en communication et en résolution de problèmes, contribuent à son succès dans la réalisation de transformations positives et impactantes.
Jacqueline Schneider, chercheure d'établissement, CIUSSS du Nord-de-l'île-de-Montréal
Jacqueline Schneider possède un doctorat en anthropologie octroyé par l'Université de Montréal. Elle a réalisé un stage postdoctoral à l'Institut universitaire de première ligne en santé et services sociaux. Elle est maintenant chercheuse d'établissement au centre de recherche Savoirs partagés du CIUSSS du Nord-de-l'Île-de-Montréal et ses recherches portent sur la périnatalité et l'immigration.
Dilyadav Singh, coordonnateur, Men in Change Programs, MOSAIC, Colombie-Britanique
Dilyadav Singh, un travailleur social dévoué, est passionné par l'autonomisation des individus et des communautés pour surmonter les défis et atteindre leur plein potentiel. Avec un passé d'immigré et une éducation dans une communauté unie, il milite pour l'épanouissement des communautés diverses, s'appuyant sur une profonde appréciation du soutien social et des ressources communautaires. Après avoir obtenu son baccalauréat en travail social de l'Université de la ville de Hong Kong, Dilyadav a commencé sa carrière en fournissant des services de gestion de cas aux demandeurs d'asile et aux réfugiés à Hong Kong. Depuis 2022, il est coordinateur chez MOSAIC au Canada, militant pour l'égalité et fournissant un soutien en counseling aux hommes immigrants. Passionné par les activités de plein air et l'exploration de nouvelles cultures, l'engagement de Dilyadav pour la justice sociale stimule le changement positif dans sa communauté.
Abu Saleh Mohammad, candidat au doctorat, Social and Cultural Analysis, Université Concordia
Abu Saleh Mohammad Sowad est récipiendaire d’une bourse doctorale du FRQSC en Analyse sociale et culturelle à l'Université Concordia. Il détient un maîtrise en Genre, Développement et Mondialisation de la London School of Economics and Political Science, ainsi qu'une licence et une maîtrise en Études sur les femmes et le genre de l'Université de Dhaka. Il est membre du corps professoral au Département des études sur les femmes et le genre de l'Université de Dhaka depuis 2014.
Sarah Thomas, étudiante à la maîtrise, École de travail social, York University
Sarah (elle), née dans le traité Sept, terre de la Confédération des Pieds-Noirs, des nations Tsuut’ina et Îyâxe Nakoda et de la région métisse 3, vit maintenant dans le traité 13, terre de la Nation Anishinabek, de la Confédération Haudenosaunee et des Hurons-Wendat, tout en complétant sa maîtrise en travail social à l'Université York. Sarah est une chercheuse militante, féministe et aspirante alliée pour la justice de genre, de race et anti-coloniale et la réconciliation, d'origine néerlandaise. Sarah compte plus de 6 ans d'expérience dans l'organisation communautaire et la recherche communautaire, et ses domaines d'intérêt actuels incluent la mobilisation des connaissances, la construction de relations éthiques et l'engagement dans l'aide mutuelle.
Karine-Sophie Vandal, candidate au doctorat, École de travail social, Université de Montréal
Karine-Sophie Vandal est une chercheure doctorale dont le projet de thèse se concentre sur plusieurs aspects liés à la maladie mentale chez les hommes haïtiens. Son objectif principal est de décrire les représentations sociales entourant cette problématique, d'analyser la cohérence des approches d'interventions par rapport aux besoins en soins, et enfin, de définir l'influence de ces représentations sur l'accessibilité et la recherche d'aide. En parallèle de ses études doctorales, Karine-Sophie occupe le rôle d'intervenante en santé mentale adulte au sein du réseau de la santé (RSSS). Elle est également formatrice accréditée, dispensant des formations sur la santé et le bien-être des hommes pour d'autres intervenants. De plus, elle s'investit bénévolement au sein d'un organisme communautaire dédié aux hommes. Son engagement professionnel et communautaire souligne son intérêt pour la santé mentale et son désir de contribuer à l'amélioration des services et du bien-être des hommes, en particulier ceux de la communauté haïtienne.
Kinda Wassef, agente de recherche, Centre de recherche en santé publique, Université de Montréal
Kinda Wassef est agente de recherche au Centre de recherche en santé publique à l’Université de Montréal et travaille pour l'Université Mount Saint Vincent en tant qu'assistante de recherche pour le projet Puppy Philms. Elle détient une maîtrise en santé publique de l'Université de Montréal avec une spécialisation en promotion de la santé et en prévention. Elle est passionnée par l'équité en santé et s'intéresse particulièrement à la santé mentale, à la santé sexuelle et aux stratégies de réduction des méfaits liés à l'usage de substances dans les communautés 2S/LGBTQIA+.
Katarzyna Wojnicka, professeure agrégée de sociologie et maître-conférencière au département de sociologie et des sciences du travail et au Centre de recherche européenne, Université de Göteborg, Suède
Katarzyna Wojnicka est également rédactrice en chef de NORMA : International Journal for Masculinity Studies. Avant de rejoindre le Département de sociologie et des sciences du travail de l'Université de Göteborg, elle a occupé des postes de chercheuse postdoctorale dans plusieurs universités européennes : Université de Leeds, Royaume-Uni ; Université Humboldt de Berlin, Allemagne et Université de Göteborg, Suède. Elle a également travaillé au DeZIM Centre allemand pour l'intégration et la migration et a été chef de projet à Dissens, Institut pour l'éducation et la recherche à Berlin, en Allemagne. Ses intérêts scientifiques actuels se concentrent principalement sur les études critiques sur les hommes et les masculinités, les études sur la migration et l'intégration, les études sur les mouvements sociaux et les études européennes. Elle est l'auteure de plus de 60 articles scientifiques, chapitres de livres et rapports et co-éditrice de trois livres. Elle a travaillé dans plus d’une douzaine de projets de recherche axés sur les questions de genre, d’hommes et de masculinités.
Josephine Pui-Hing Wong, professeure, Daphne Cockwell School of Nursing, Toronto Metropolitan University, Co-PI & co-pilote du projet Strength in unity project - Men Speaking Out Against Stigma
Josephine Pui-Hing Wong possède une vaste expérience en santé publique et en santé urbaine, notamment dans l'élaboration de politiques d'accès et d'équité en santé ainsi que dans la direction de grandes campagnes de communication en santé. Elle collabore étroitement avec les communautés marginalisées pour développer, mettre en œuvre et évaluer des programmes de promotion de la santé et d'autonomisation collective. Adoptant une approche pédagogique qui considère les étudiants comme des participants actifs, Josephine se concentre sur les soins infirmiers communautaires et la promotion de la santé urbaine centrée sur les personnes, mettant en lumière les injustices systémiques historiques et contemporaines. Elle s'engage activement dans l'établissement de cercles d'apprentissage critiques communauté-campus, favorisant le dialogue entre les parties prenantes. Engagée en faveur de la justice sociale, sa recherche privilégie la collaboration "avec" les communautés concernées pour développer des solutions novatrices visant à réduire les disparités en santé et la stigmatisation, notamment au sein des communautés asiatiques, noires et latinx au Canada et parmi les étudiants universitaires en Chine. Actuellement, elle dirige des efforts de recherche en réponse rapide pour atténuer les impacts négatifs de la pandémie de COVID-19, soutenue par diverses organisations, notamment OHTN, CIHR et l'Agence de la santé publique du Canada.